Récemment, l’artiste autoproclamé “L’Oiseau Rare” a jeté de l’huile sur le feu en s’immisçant dans le paysage politique gabonais. En apportant son soutien inconditionnel à Ali Bongo Ondimba lors des élections présidentielles, il a déclenché une tempête médiatique et suscité la colère de ses fans et de ses pairs artistes. Mais au lieu de faire preuve d’humilité et d’expliquer son choix, L’Oiseau Rare a adopté une attitude d’une arrogance ahurissante. Pour couronner le tout, il s’est récemment autoproclamé “envoyé par Dieu pour relever la musique gabonaise”, ajoutant ainsi un nouveau chapitre à son livre d’arrogance.
Lors d’un live sur ses réseaux sociaux, L’Oiseau Rare a tenté de justifier son soutien à Ali Bongo Ondimba en invoquant des pressions de l’entourage présidentiel. Cependant, au lieu de s’excuser pour son choix controversé, il a préféré ignorer les appels à la réconciliation de ses fans et de ses collègues artistes. Cette attitude a été perçue comme un mépris flagrant envers ceux qui l’ont porté au sommet de la scène musicale gabonaise. Et ce n’est pas tout, L’Oiseau Rare a poussé l’arrogance à son comble en prétendant qu’il était “l’élu de Dieu pour élever la musique gabonaise”, une déclaration qui frise le sacrilège et qui en dit long sur son égo démesuré.
La saga de L’Oiseau Rare continue de faire couler de l’encre, mettant en lumière un artiste qui semble se complaire dans l’arrogance et le mépris envers son public. Alors que ses pairs artistes ont fait preuve d’humilité en reconnaissant leurs erreurs et en présentant des excuses, L’Oiseau Rare a choisi la voie de l’entêtement. Sa prétention à être l’élu de Dieu pour la musique gabonaise est un nouveau sommet dans son auto-glorification, et sa décision de ne pas s’excuser ne fait que confirmer l’image d’un artiste déconnecté de la réalité et peu enclin à reconnaître ses torts. La controverse qui l’entoure risque de laisser des cicatrices durables dans sa relation avec son public et ses pairs artistes.
Vagha.